Capitale d'Archenland, Anvard est connu pour ses grandes tours du château du Duc, ainsi que de ses pierres d'un rouge-brun et les grandes pelouses vertes qui entourent la cité. Par la magie des fées, Anvard est la seule cité qui n'est pas encore enseveli sous la neige de Jadis, comme le reste du royaume. Il fait encore doux et il est agréable de vivre ici malgré la population qui s'accroit dangereusement en vue d'une grand nombre d'immigrés venus de Narnia, cherchant asile et protection. Les Archenlandais n'étant pas connus pour être un peuple ouvert, il n'est pas rare que des bagarres se mettent à éclater en plein milieu d'une rue.

La Floraison est un lieu caché des yeux des humains où se regroupent le peuple des fées ainsi que d'autres créatures qui vivent dans la Grande Forêt. Connu simplement par les humains comme une vieille histoire de grand-mère, la Floraison possède pourtant tout d'un royaume humain. Un village des fées, des clairières, une grande forêt pour la protéger. C'est un lieu de refuge aussi pour les créatures et esprits persécutés que les fées tentent de protéger.

Les Montagnes d'Archenland se situe sur tout le territoire ouest. Sur une bonne partie d'entre elles, on y retrouve de la forêt mais si vous vous y aventurez par le sud, vous pouvez y découvrir les grands monts et les escalader. Il n'y a pas grand chose à faire, hormis obtenir une vue extraordinaire sur Archenland, Narnia et Calormen. Mais peu d'hommes réussissent à aller jusqu'à là. L'ascension est dangereuse et hormis la pension de l'Ours, il n'y a pas vraiment de vies dans les montagnes.

A l'extrême Est, non loin du château d'Anvard on trouve la fine terre entre Archenland et l'Océan. C'est une région du royaume peu intéressante pour ses habitants et pourtant, nombreux bateaux accostent encore aujourd'hui, malgré la domination de Jadis, aussi sur les eaux. Les côtés offrent aussi le spectacle le plus invraisemblable de la région avec de la neige qui tombe tout autour, même sur l'océan et qui semble s'arrêter juste avant les côtes archenlandaises. On explique pas ce phénomène, du moins pas encore.